Bienvenue chez ESPRIT SYNTH.
Bienvenue à tous, mais bienvenue surtout à toi. Tu as dit que tu n'aimais pas les tounes de synthés, surtout celles des années '80. Bien mal t'en pris. J'ai créé ce blogue pour te partager quotidiennement au cours des 365 prochains jours, les pièces à synthés qui ont marqué l'histoire de la pop de 1975 à aujourd'hui (bientôt 2010) et qui ont marqué la mienne. J'en profiterai aussi pour dire des niaiseries et faire peu ou prou preuve d'esprit de synthèse.
Des synthés, c'est fait pour faire buzzer, c'est fait pour faire voyager. Les sons multiples et évasifs de l'instrument électronique sont difficiles à saisir et procurent ainsi un plaisir à l'oreille humaine qui n'a aucun référant sémantique naturel à lui accoler. D'autres, comme toi, trouve ça désagréable. Chez moi, je dirais que ça amène une certaine forme de béatitude. Et ça ça donne d'habitude une raison de vivre. N'aie crainte, en y allant un jour à la fois, ça finira aussi par t'ensorceler.
Bienvenue à tous, mais bienvenue surtout à toi. Tu as dit que tu n'aimais pas les tounes de synthés, surtout celles des années '80. Bien mal t'en pris. J'ai créé ce blogue pour te partager quotidiennement au cours des 365 prochains jours, les pièces à synthés qui ont marqué l'histoire de la pop de 1975 à aujourd'hui (bientôt 2010) et qui ont marqué la mienne. J'en profiterai aussi pour dire des niaiseries et faire peu ou prou preuve d'esprit de synthèse.
Des synthés, c'est fait pour faire buzzer, c'est fait pour faire voyager. Les sons multiples et évasifs de l'instrument électronique sont difficiles à saisir et procurent ainsi un plaisir à l'oreille humaine qui n'a aucun référant sémantique naturel à lui accoler. D'autres, comme toi, trouve ça désagréable. Chez moi, je dirais que ça amène une certaine forme de béatitude. Et ça ça donne d'habitude une raison de vivre. N'aie crainte, en y allant un jour à la fois, ça finira aussi par t'ensorceler.
Jour 1
Le groupe Pink Floyd s'était déjà servi des synthés depuis sa fondation en 1967. Mais ici sur fond de douze cordes stoner, les synthés de Richard Wright volent définitivement la vedette et indiquent la voie pour les trois décennies à venir en invitant ce son à se mettre à l'aise, à faire comme s'il était enfin chez lui. Welcome To The Machine, sarcasme sur l'industrie de la musique, est ponctué par le mini-moog qui crie sa venue au monde comme l'enfant traumatisé au sortir de la matrice.
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